Mama Shelter à Istanbul
Après Paris et Marseille, avant Lyon puis Bordeaux, Mama Shelter inaugure sa nouvelle adresse à Istanbul, sur les hauteurs du pont de Galata qui enjambe le Corne d’Or., au beau milieu de Beyoglu, le quartier le plus fréquenté et le plus créatif d’Istanbul.Le creuset de toutes les énergies stambouliotes
Serge Trigano inventeur de la recette en compagnie d’amis à l’éternelle adolescence, Philippe Starck pour la déco et Alalin Senderens au piano entendent confirmer le concept : Une poignée d’arguments dupliqués dans chaque « Mama » : des plafonds, des moquettes et des tapis graphés de manière percutante avec des citations de Victor Hugo, de Jim Morisson ou jaillies d’un imaginaire inspiré ; un grand bar lumineux dominé d’une rangée de 48 bouées pour enfants, un espace dédié aux pizzas juste sorties du four, des tables pour 8 souvenir du Club Med, une carte sobre avec des cocottes à partager, un baby-foot géant, un DJ aux platines, des chambres au design épuré garnies de joyeux clins d’oeil (des masques de héros de BD sur les lampes de chevet, un sofa orange, un vélo d’intérieur ou le plan gribouillé de la ville sur un tapis).
Le creuset de toutes les énergies stambouliotes
La situation du Mama Istanbul sur l’avenue Istiklal, qu’arpentent chaque jour entre midi et 4 heures du matin plus d’un million de promeneurs, change la donne. Cette artère passe pour le creuset de toutes les énergies stambouliotes actuelles. Ce quartier réunit pêle-mêle les grandes griffes de vêtements, le roi des loukoums, le consulat de France et de Grèce, des dizaines d’ateliers de créateurs et autant de galeries d’art, les poissonniers qui cachent toujours un peu de caviar dans l’arrière-boutique, des mosquées, le siège délabré du parti communiste, des as du chocolat, des vendeurs de cigarettes à l’unité et même une église Saint-Antoine de padoue ou la messe selon le jour est célébrée en turc, en italien en polonais ou en anglais!
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